Un événement spectaculaire sur scène et en coulisses grâce à Solotech
Expertise, service et communication : les principaux ingrédients pour demeurer à la fine pointe de la vidéo de concert en direct
Le mot d’ordre du directeur des projets spéciaux de Solotech, Ian Woodall (affectueusement surnommé Woody), est de savoir combiner ces ingrédients afin de maintenir l’équilibre et l’harmonie nécessaires pour monter des expériences vidéo uniques pour les artistes et le public.
Selon Woody, la technologie de pointe est un élément essentiel. En revanche, il estime que les relations sont peut-être encore plus importantes dans la conception de systèmes vidéo capables de répondre aux besoins des clients. Il cite en exemple le travail de Solotech pour la série de spectacles de la chanteuse Adele à Las Vegas, intitulé Weekends with Adele.
« L’été dernier, Adele a donné deux représentations à Hyde Park dans le cadre du British Summertime. C’était la première fois qu’elle était en concert en direct depuis un certain temps. Nous avons travaillé sans relâche avec Adele et son équipe pour que tout se passe bien. Ce que nous accomplissons sur le terrain c’est notre publicité en vitrine. Par conséquent, c’était une progression naturelle pour nous de vouloir nous impliquer en amont pour les spectacles prévus à Las Vegas. »
Ian Woody Woodall
Directeur des projets spéciaux
Solotech
On atteint l’excellence en commençant par des conversations honnêtes
On veille à capturer et à soutenir parfaitement la vision d’un artiste avec l’infrastructure et la conception vidéo.
En effet, Woody a collaboré étroitement avec l’équipe de production d’Adele, avec la firme de design Stufish Entertainment Architects, avec le directeur créatif Matt Askem, puis Treatment Studio et tous les autres intervenants. Woody était présent dès les premières conversations, pendant le processus de démonstration et de conception, toujours dans le but de fournir l’infrastructure idéale pour donner vie à la vision globale de cette équipe.
Il est aussi vrai que Solotech s’est appuyée sur une nouvelle technologie, notamment un grand nombre de serveurs Disguise GX3, soit les premiers sur le marché mondial. En revanche, nos choix de technologie n’ont jamais été fondés sur « plus gros, plus éclatant, plus facile à trouver ». Au contraire, nos choix s’appuyaient sur nos premières conversations avec l’équipe. Selon Woody, « l’ensemble du secteur repose sur les gens et sur les relations que nous entretenons. Il faut discuter avec toutes les personnes impliquées et leur dire : je comprends l’idée, je comprends les exigences techniques. Maintenant, qu’est-ce que vous essayez de réaliser et de créer? C’est très important. »
Dans ce processus, Solotech a démontré sa volonté et son intérêt d’être à l’affût des dernières technologies et de les adopter. Elle a laissé savoir qu’elle travaillerait en étroite collaboration avec les fabricants pour tirer le meilleur parti des nouveaux produits, tout en veillant à ce que chaque élément du système soutienne la vision de l’artiste et du concepteur.
Les obstacles techniques; avant et aujourd’hui
Puisque la technologie vidéo fait l’objet d’innovations rapides et constantes, les possibilités offertes sont nombreuses. Donc, les défis à relever pour équilibrer l’esthétique et l’ambiance d’un spectacle et pour harmoniser la technologie et la prestation ont évolué au fil du temps.
« Il y a vingt ans, les obstacles techniques que nous rencontrions c’était justement l’impossibilité de réaliser l’idée d’une personne sur le plan technique. Ce n’est plus ça le défi. Aujourd’hui, nous devons choisir une technologie qui apporte de la valeur à la production », explique Woody. Pour y arriver, il est essentiel d’avoir des conversations honnêtes avec toutes les personnes concernées et de choisir les bons outils de travail.
« Chez Solotech, nous sommes très doués pour demeurer axés sur les produits et les fabricants qui ajoutent de la valeur aux projets que nous réalisons. Bien entendu, le spectacle d’Adele était technique, mais il devait aussi conserver une qualité d’authenticité. Autrement dit, visuellement, il devait se comparer à l’écoute d’un vinyle plutôt qu’une écoute de Spotify. »
Renforcer l’authenticité
Pour Weekends With Adele au Colosseum du Caesars Palace, notre mandat consistait à maintenir une atmosphère intime dans un spectacle à très grand déploiement. Donc, nous devions trouver l’équilibre et l’harmonie entre la prestation, le décor et la technologie qui s’y intègre. Notre objectif était de nous assurer que l’attention demeure sur l’artiste même si les éléments vidéo avaient le potentiel de l’éclipser.
Ce n’était pas un mince exploit, compte tenu de l’étendue et de la dimension du système déployé au Caesars Palace. En effet, les surfaces de projection à 180 degrés dans cette salle s’étendaient pratiquement sur toute la largeur. Le risque était donc que le public soit constamment distrait par ce système. Heureusement, le ton du spectacle est donné dès le début : Adele interprète magnifiquement ses premières chansons en étant accompagnée d’un pianiste. Ils sont encadrés par une avant-scène virtuelle en forme de A.
L’ambiance authentique s’installe parce que le public est tellement concentré sur le piano et sur Adele, dès le début du concert, que lorsque l’étendue des surfaces vidéo se révèle au fil de la représentation, ça se fait naturellement. La prestation semble offrir un prolongement organique, sans être une distraction. On a l’impression que l’artiste nous invite à entrer en profondeur dans son univers. Ainsi, au fur et à mesure que le spectacle s’intensifie et prend des dimensions spectaculaires, à couper le souffle, il demeure tout de même intime et authentique.
« Quand Adele entre en scène pour la première fois, chaque spectateur a l’impression qu’elle chante pour lui ou elle seulement. Puis, les choristes la rejoignent ensuite au piano. Ce n’est qu’au bout de plusieurs chansons que le public entrevoit la portée de la production. La surface vidéo est toujours sous les yeux des spectateurs, mais quand ils entrent dans la salle, ils la confondent avez l’architecture de la salle. »
Ian Woody Woodall
Directeur des projets spéciaux
Solotech
Établir la confiance pour offrir ce qu’il y a de mieux
Au-delà du rythme et des éléments techniques, la confiance est l’ingrédient principal pour créer une expérience de concert unique et captivante. « Lorsqu’un artiste monte sur scène, il remet son image et sa réputation entre les mains des personnes qui organisent le spectacle, explique Woody. Comme fournisseur d’équipement, même si Solotech ne fait pas officiellement partie du processus créatif, son équipe et tous les autres intervenants travaillent de concert, ajoute-t-il. Notre équipe veut comprendre le processus de création pour faire en sorte que le système et tous les autres éléments fonctionnent à l’unisson. »
Au cœur d’un climat de confiance reposent les personnes, l’expertise et le service, la communication transparente au sein de l’entreprise et entre les partenaires, puis la volonté de s’adapter rapidement et d’accroître l’agilité de l’entreprise. Pour établir cette confiance, nous devons investir autant dans la technologie que dans notre personnel, dont le dévouement est inébranlable. C’est ainsi que nous veillons à ce que chaque client ait accès à la vaste gamme de ressources de Solotech et à son attention pleine et entière.
« Pour le compte total, il n’y a pas de doute que d’autres compagnies produisent plus de spectacles. Mais, pour Solotech, ce n’est pas une question de chiffres. Nous avons à cœur de ne pas dépasser les limites, de ne pas « accepter le spectacle de trop ». C’est important. Si vous n’envisagez pas un projet du point de vue des ressources : les bonnes personnes, le bon équipement, les bonnes relations et tous les autres aspects… Si vous travaillez sur un spectacle uniquement parce que l’artiste est réputé, alors vous le faites pour les mauvaises raisons. »
